"Ca devait être vrai, forcément, mais on eût dit aussi qu'elle minaudait, qu'elle surjouait, et je compris immédiatement ce que sa belle-mère n'aimait pas chez elle. Vous voulez savoir ? C'était cette façon d'incliner la tête de côté, canine, ou encore ce clignement incessant des paupières. Il y avait trop de sourire là-dedans, trop d'enthousiasme. Il y avait trop de besoin d'être aimé, de convaincre, une hystérie en latence".
La narratrice recueille, avec son mari, une lointaine parente adolescente en déshérence. Après la mort de son conjoint, celle qui écrit la lettre destinée à sa femme de ménage se retrouve en tête à tête avec cette jeune Marie-Jeanne, qui ne se décide pas à quitter la demeure. S'ensuit une relation perverse et sans morale entre les deux femmes ; le drame n'est pas loin.
Un ton vif et tranchant, annonciateur d'une belle ambition et d'un bel enthousiasme. Mais bon, je ne suis pas tout à fait conquise. Tout d'abord, 15 jours pour lire 150 pages, ce n'est pas vraiment bon signe, connaissant ma bibliophagie. Une jeune femme qui a de l'idée, mais qui s' "écoute" un peu écrire, et c'est par moment agaçants. Certains passages, la fin en particulier, sont un peu téléphonés, si ce n'est attendus. C'est dommage, car la thématique en soi vaut le détour !
A réessayer lors d'une prochaine publication ?
La narratrice recueille, avec son mari, une lointaine parente adolescente en déshérence. Après la mort de son conjoint, celle qui écrit la lettre destinée à sa femme de ménage se retrouve en tête à tête avec cette jeune Marie-Jeanne, qui ne se décide pas à quitter la demeure. S'ensuit une relation perverse et sans morale entre les deux femmes ; le drame n'est pas loin.
Un ton vif et tranchant, annonciateur d'une belle ambition et d'un bel enthousiasme. Mais bon, je ne suis pas tout à fait conquise. Tout d'abord, 15 jours pour lire 150 pages, ce n'est pas vraiment bon signe, connaissant ma bibliophagie. Une jeune femme qui a de l'idée, mais qui s' "écoute" un peu écrire, et c'est par moment agaçants. Certains passages, la fin en particulier, sont un peu téléphonés, si ce n'est attendus. C'est dommage, car la thématique en soi vaut le détour !
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